Informations pratiques :
Titre : Never Sky
Auteure : Veronica Rossi
Éditeur : Nathan
Nombre de pages : 377
Prix : 16.50 €
Résumé de l'éditeur :
Aria, 17 ans, a grandi dans une immense Capsule. Comme tous
les Sédentaires, elle passe ses journées dans des mondes virtuels, à l'abri du
danger. Mais un jour, accusée d'un crime qu'elle n'a pas commis. Aria est
bannie, abandonnée en pleine nature ravagée par les tempêtes d'Éther. Sa seule
chance de survie apparaît alors sous les traits de Perry, un chasseur aux
cheveux hirsutes et à la peau tatouée. Malgré la terreur qu'il lui inspire,
Aria n'a d'autre choix que de lui proposer un marché... qui va bouleverser leur
vie à jamais.
Mon avis :
Ca faisait longtemps que ce livre me tentait et quand je
l’ai enfin eu entre mes mains, je n’ai pas pu faire autre que de le lire. Et
quand j’ai commencé, je me suis vraiment rendue compte que c’était super
addictif, et difficile à lâcher. Voici ma chronique plus en détail.
Pour l’histoire : On suit Aria, 17 ans, qui vit dans
une capsule. Qu’est-ce qu’une capsule ? Eh bien, après que l’Éther (Espèce
de foudre qui ondule dans le ciel et brule les terres) s’est déchainé sur
terre, les hommes ont créé des genres de « nouveau monde », des
capsules, creusés sous terre pour permettre aux humains de survivre et ne pas
se faire bruler par la foudre. La vie technologique a bien évolué depuis ces
temps-ci et permettent aux Sédentaires (personne résidants dans les Capsules)
de vivre une vie meilleure par le billet de mondes artificiels à l’abri de tout
dangers. Seulement, un jour, Aria se trouve au centre d’une supercherie, qui la
rend coupable d’un crime qu’elle n’a pas commis. Elle est alors relâchée dans
le monde extérieur, sans aucuns vivres, ni aucune expérience. Elle va bientôt
faire la connaissance de Perry, un « sauvage », qui se matérialisera
ensuite comme sa seule chance de survie. A eux deux, ils sont promis à un
destin incertain …
J’ai été tout
simplement séduite par le contexte dystopique. Le fait que la nature se dérègle
d’elle-même et martyrise la population … On peut tout d’abord croire à de la
science-fiction, mais cet ouvrage s’en éloigne de plus en plus au fil de la
lecture.
Les personnages sont marquants et attachants au premier
regard. Une sorte de lien invisible nous lie à eux et nous devenons de plus en
plus accros à la lecture de leurs aventures.
J’ai adoré Aria et Perry bien sûr, mais j’ai aussi tout de suite
accroché aux personnages secondaires comme Roar ou encore Cinder qui
interviennent vers la moitié du récit. Mais je vais stopper là avant d’en dire
trop ! J
Ce livre ne nous laisse aucun répit. A peine un mystère de
résolut, qu’on enchaine déjà avec quelque chose d’autre. L’intrigue ne se fait
pas remarquer mais elle est bien présente tout au long du récit. Et le suspense
s’invite lui aussi ! En plus grande partie sur l’action, mais aussi la
romance, car, on ne va pas se cacher, on a envie de savoir que va-t-il se
passer entre nos deux personnages préférés !
Je ne vais pas vous le cacher : quand j’ai vu la taille
de la police d’écriture, je me suis dit que ça allait être long, très long.
Mais en fait pas du tout, ça se lit super vite, et on n’arrive pas à lâcher ce
bouquin. Vraiment, tout y est ! Je ne vous parle même pas du style de
l’auteure qui est à tomber d’un pont ! Vous aurez traduit mon
enthousiasme. Autre chose qui me faisait un peu peur, c’est que le récit soit
écrit d’un point de vue externe, procédé qui selon moi ne laisse pas assez
transparaitre les réelles émotions des personnages. Hormis ce point, je pense
que rien d’autre ne m’a déplu. Il s’agit d’un gros coup de cœur !
En bref : Une histoire formidable qui m’a fait palpiter
le cœur tout au long de sa lecture. J’attends la suite de pied ferme qui
devrait sortir au courant de 2013. Vous
l’aurez vu, il s’agit une nouvelle fois d’un coup de cœur que je conseille à
tout le monde ! Amoureux de la dystopie, je tiens entre mes mains le roman
qui vous fera fondre ! J Merci aux éditions Nathan pour cette lecture !
Ma note : 5/5
J'ai été séduite également par ce 1er tome. Vivement le second !
RépondreSupprimerOui !
Supprimer